Au bout de la perche, un pas de plus

Le révérend du mont aux Lichens (Shishuang, Sekisō) dit « Au bout de la perche de cent pieds, comment faire une pas de plus? » Une ancienne et éminente vertu a dit: « Même si celui qui est assis au bout d’une perche de cent pieds est déjà entré dans sa nature profonde, il n’est pas encore dans le vrai. Au bout de la perche de cent pieds, il doit encore avancer et manifester son corps dans les mondes des dix directions ».

Mumonkan (Wumei Huikai), cas n° 46, Traduction de Catherine Despeux

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