Poème de la pagode
ThéFragrantes feuilles, bourgeons délicatsAdmiré par les poètes, aimé des moinesPilé à l’aide de jade blanc, filtré au travers d’une gaze rougeCouleur d’or bouilli dans un
ThéFragrantes feuilles, bourgeons délicatsAdmiré par les poètes, aimé des moinesPilé à l’aide de jade blanc, filtré au travers d’une gaze rougeCouleur d’or bouilli dans un
Au portail de « Rocher abrupt » personne ne vientLa couleur des bambous recouvre la balustrade du moineLa pluie dans la forêt rend les soutras humidesLes nuages
La brise emporte les vapeurs de théPar-delà les bambousNon loin coule un ruisseauEt les pétales se posentSur l’étang de cristalComment pouvons-nous vivre et traverserTrente six